« PLAN FRANCE 2030 : Le département génie physique de l’INSA prêt à relever les défis stratégiques dans le domaine des semi-conducteurs !!!

Depuis des décennies, le département de Génie Physique fait la part belle à la formation en microélectronique au travers de cours portant sur les fondamentaux (physique quantique, physique du solide, physique des dispositifs semi-conducteurs, des hétéro-structures, nanophysique...), et également sur la formation en technologie des composants avec le soutien de l’AIME.

Les futurs ingénieurs reçoivent une formation (i) aux outils de simulation de composants, de procédés technologiques et la conception de circuit intégré (CAO), et (ii) pratique aux techniques de salle blanche via la fabrication et le test de composants, circuits et microsystèmes à l’AIME:

- composants élémentaires (transistors, capacités…) et circuits intégrés en technologie NMOS/PMOS

- cellules mémoires à base de nanocristaux de silicium

- capteur chimique à base de nanoparticules d’oxydes de métaux.

- microsystèmes : accéléromètres, micro-miroirs, actionneurs thermiques…

- cellule photovoltaïque et micro-supercondensateur pour la récupération et le stockage d’énergie des capteurs autonomes.

            Cette formation d’ingénieurs de haut niveau émane de contacts étroits avec l'industrie couplés aux apports issus de la recherche. Notre défi est d’offrir à nos diplômés des fondements scientifiques solides associés aux technologies émergentes, qui leur permettent de répondre de manière éclairée aux grands défis industriels et sociétaux.

Aujourd’hui, ce sont plus de mille Ingénieurs formés par le département de Physique en activités dans le secteur privé (Freescale, ST Microelectronics, NxP, Motorola, Astrium, Alcatel, Thales Avionic, EADS, Continental, Vittesco, Siemens, Airbus, …), ou public (CNRS, CEA, CNES, ONERA…).

Le département de Génie Physique avec le soutien de l’AIME est donc en capacité chaque année de former les ingénieurs qui relèveront le défi évoqué par le chef de l’état via le plan France 2030 pour relancer la filière du semi-conducteur en France et en Europe.